• " Mamà?
     - Qué?
     - Puedo tener hijos?
     - Ahora no, porque no tienes la edad. Pero los tiendràs cuando seas mayor, y te cases.
    - Quien tiene antes el nino, la madre o el padre?
    - El padre pone la semilia, como te dicho, y la madre pone la tierra, y la semilia hace nacer la flor.
    - Y quien es la flor?
    - Tù.
    - Y Porque no crezen los ninos dentro las papas?

    - Y que tienen que hacer el padre y la madre para tener ninos?
    - Solo quererse mucho... "

                                  Infinita tristeza, Manu Chao


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  • Jamo, ténakin né owata?
    Owata yakma Tazérozéro morts o ba pélerinage?
    Yimvaérami bebata Yimnobmi Allah, Owata Allah yimtionma ça?
    Demo bebata démona l'heure?
    Allah yimDjenama Yim une récompense?
    Vaéra tama Yim li ba koa li bak oul?
    Néespo...
    Tazérozéro Demo Orm Néapo...
    Téco Allah Ouakbar néapo tem.
    Néluna juste que ténakin né...

    Nénobté.


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  • Je vois souvent dans les blogs les gens qui parlent d'amour. D'amour amour je veux dire. Et quand je regarde ici il n'y en a pas. Enfin ce serait plutôt amour ami ici tu vois. Enfin t'as compris. Alors quand je regarde on pourrait se dire que je suis pas amoureux. Enfin amoureux amireux ouai, mais amoureux amoureux non. Eh ben je voulais le dire:

    Je suis amoureux amoureux.

    Mais je l'écris pas ici c'est tout. J'aurais peur de ne pas assez bien décrire ce que je vis. J'aurais honte de pas le faire assez bien. J' aurais pas assez de mots. Pas assez de temps. Pas assez magicien. Pourtant je devrais le faire sûrement, parce que se faire écrire des mots d'amour ça fait du bien, non? Moi j'aime en tout cas.
    Alors je m'excuse pour ça.

    Regardes en moi et tu sauras.

    ( Mon ordi a buggé la première fois que j'ai écris ce texte, je viens de le retaper. Comme quoi même ça je pense que je l'ai pas assez bien écrit. Une puissance voulait pas que je publie. Mais tant pis, moi j'aime, et je voulais le dire. )


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  • " J'ai enfin reconnu que j'avais voulu me tuer non parce que je detestais vivre, mais parce que j'adorais vivre. "
                                      Nick Hornby.

    On devrait se souhaiter tout le bonheur tous les jours.
    Mais bon âne eh!
    Que personne n'est son bac, qu'on reste encore une année à se toucher.  

    Au fait, à tous les fans des Rolling Stones: " Adieu la rock attitude, bonjour la gold card attitude " ( Télérama. )
    Oui parce que pour pouvoir réserver une place pour la tournée, il faut possèder l'American express, carde de crédit que seuls les gens possèdant un revenu conséquent peuvent de procurer.(Je précise juste parce que moi je ne savais pas.)

    Ah, et à tous les briseurs de magie cristalline qui revendent leurs cadeaux de Noël sur internet: Allez vous faire voir. Prenez vous des éclats dans la tronche. Intention attention. Prenez vous des coups par le lien onirique.  

    Content de revoir tous ces meys. Content de voir qu'ils sont toujours aussi fous. ^^    


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  • Il est certain que cette journée doit rester en vie, quelque part. Dans les têtes elle sera là. Dans les mémoires. Mais prudence est mère de sûreté, le temps est puissant. Elle ne sera pas aussi belle ici qu'elle a été aujourd'hui. Mais je ferais de mon mieux, pour vous, pour moi. Certaines personnes le feront sûrement aussi, et mieux que moi, mais chacun ses détails, et tous ensemble on les aura tous. Je vous demanderais juste cette fois, dans les commentaires, juste de partager vos souvenirs. Des conneries qui font rire. Des importances qui touchent. De cette journée enneigée :

    Déjà on a eu le train de 12h16. Ce qui est en soi un miracle je pense. ^^  Quinze personnes grâce à Mod. Conclusion du trajet : 

     

    -          L'armée ça pue, mais c'est chacun son truc.

    -          Avocat pour défendre des gens de l'armée, c'est un boulot intelligent.

    -          Les plus démunis doivent obéir.

    -          Les grizzlis mangent du saumon, et sont beaux.

    -          C'est possible d'avoir ses règles tous les jours.

     « Arrivée à Lille, assurez-vous de n'avoir rien oublié dans le train. »
    On descend. On se perd déjà dans la gare, on est assez fort c'est vrai. On met 10 minutes à sortir de la gare, car le choix du repas est acharné. La chance que l'on a se fait sentir dans ces cas-là. D'avoir le choix de manger où l'on veut. Finalement, c'est Quick qui gagne, avec une petite pensée pour José Bové.
    Il y a du monde. Il y a toujours du monde. Et un monde toujours aussi mélangé, ce qui est toujours pas mal. Il fait pas encore nuit, chaque chose en son temps.
    La queue du hamburger dépassant l'entrée, le chef (Tio bello) passe au plan B : direction la Fnac, histoire que la queue se fasse bouffer. Là-bas on a tous erré, bavant dans les allées, ce qui explique peut être pourquoi on s'est retrouvé.^^ C'est vrai que si on était encore plus riche qu'on ne l'est déjà, la Fnac serait un des endroits qu'il serait bon de faire vivre.
    Ensuite, c'était ce qu'on appelle la magie qui nous a entraîné. De la vraie, de la pure, de la pas trichée, de la pas truquée. Celle qu'on n'explique pas. Un homme qui jouait de la guitare a vaincu le cri de nos ventres. Littéralement mis par terre. Il jouait vraiment bien, et par ce froid il fallait le faire.
    Puis on s'est fait accoster par un obsédé sexuel, SDF, alcoolique, et alors ?? Il avait un poncho de chez mémé, et il a été à la grande roue avec les sous qu'on lui a donné. Il dégageait de la bonne chaleur. De la toute douce.  Je crois qu'on appelle ça chaleur humaine.
    Bon Quick, c'est pas mauvais. En attendant que tout le monde aie fini, on a joué a « celui qui voit quelqu'un mettre son doigt dans son nez ». Conclusion : les gens quand ils marchent ils ont pas le temps de se curer les nasaux. Prout.
    Là il y a eu séparation. Les filles, sauf les Mamé, sont parties à Euralille, je ne pourrais donc pas raconter la suite de leurs aventures.
    Mais nous (le reste : Tio bello, Jamo, Mod, Dish, et les Mamé) c'était parti pour rue de la clé.
    Sur le chemin, on a goûté des marrons chauds. Des patates sucrées, j'aime pas trop. Ca y est on est arrivé.
    L'argent fait pas long feu ici. C'était Elexir, un miroir grenouille, deux bracelets, 5 balles peau de pêche, un piquatif, 3 balles aussi, et un beau sac.
    Tout le monde faisait une lune avec sa bouche. Et tournée vers les yeux s'il vous plaît.
    On avait tous envie de jongler. Surtout qu'on a aidé à allumer un bâton, à des gens qui voulait juste de l'affection pour Noël.
    On a ensuite trouvé un café, après une longue chasse au bar. Ca réchauffe. Le chocolat et le lait étaient vraiment délicieux.
    Tio bello qui apprend l'arabe c'est tout aussi bon. Allah OuAkbar.
    Il fait nuit quand on sort. Un peu si on changeait d'univers, c'est une sensation qui est belle. La surprise qui nous attendait l'était encore plus : le ciel qui s'illumine, dans un fracas de sons et de couleurs. La terre qui se dessine de visages regardant les nuages. La fin du monde en beauté.
    La gare est la même qu'en arrivant. Un peu plus vide, les au revoir m'ont beaucoup manqué.
    On monte dans le train, armé d'un bon paquet de bonbons, dont chacun a participé, ce qui le rend plus que meilleur.
    Tio bello et moi on est pas sortables. C'est pas vraiment un défaut, je trouve.
    Il me donne un putain de beau bracelet. Tout aussi important que celui que j'ai troqué contre un fermoir de coque. Ils ne pourront jamais de casser, ils ont été scellés par quelque chose d'immortel.
    On arrive, il neige brièvement, pour la cinquième fois de la journée, comme si elle voulait qu'on la remarque. On arrive à jongler pendant une demi-heure tous ensemble. Comme pour finir en beauté. En magnificence.
    Tout le monde part.
    Personne ne part.
    Personne n'est là.
    Tout le monde est là.
    Merci, merci, merci, merci. Faîtes le résonner dans votre tête, comme cette journée.
    Pour toujours...   

    ( Malo, toujours merci pour la photo. )


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