Bon voila.
Un gros week end vient de se terminer. Mais quand je dis un gros. ^^
J'aime pas trop raconter en détails, mais là je crois qu'il y a des choses à ne pas oublier.
Il y a déja le "On est arrivé!!" qui nous a cassé le bide à frifri et moi. Mais vraiment en deux, énorme. On avait pas fini de cesser de respirer de rire...
On est arrivé au marché, et à 7 euros le kilo pour les bonbons, tu nous comprends. Une petite marche de 45 minutes. Moi j'aime mais ça n'a pas plu à tout le monde, flower power. C'est vraiment magnifique cet endroit. Sincèrement. J'espère qu'il restera caché un moment.
Puis on s'est retrouvé au manoir. Enfin, chez Atanoak quoi. C'est impressionant. Pas l'habitude, un peu mal à l'aise mais ça passe vite, comme tout. Avec Juliette. Ca faisait plaisir de les revoir, comme à chaque fois.
On est parti pour rejoindre le gros du troupeau. Qu'est-ce que je l'aime ce troupeau, mais qu'est-ce que je l'aime...
Ils étaient presque tous là. Zynogrolif, Propouli, Atanoak, Flop, Mon GG, Frifri, Tile, Les sisters...
Je crois bien qu'il n'y avait que des sourires. Presque sûr même. En fait sûr, et c'était doux.
On a bullé l'aprèm, normal quoi. Et on s'est retrouvé le soir pour la fête surprise de Kennora. Je dirais Bezo Edan, Han Han biss ma chite. Que viva la noche aussi. Y lamor. Au fait John billy wallace John Mickel Walker, t'as oublié jolly jumper... Fin voila. J'ai essayé de voir la lune toute la soirée, elle a pas voulu me dire bonne nuit, et fais des rêves. Je crois qu'elle se reposer pour une fois. Alors c'est moi qui lui ai dit bonne nuit Koa, fais des rêves. Il pleuvait, ça aurait quand même était beau un arc en ciel de lune...
Le matin frifri a mis des airs shots. Et moi je suis plutôt dans la démolition, chacun son truc. ^^
On a raccompagné GG et frifri à la gare. Et j'ai mangé, et dormi dans un transat au soleil. Si si je jure :) Et je suis retourné avec Propouli, on a mangé ensemble chez lui une pizza le soir. Kamelot nous tenait éveillé.
Le lendemain, on a vu un match de volley. Pas beau, mais quelle importance quand tu as de la très bonne compagnie. On a attendu Keno, mais elle a pas joué. Flower power. On a vu des pantalons le soir sur la plage, et on a été dans un bar où il y avait des voitures, alors on a changé. Propouli partait le lendemain matin. Et moi l'après-midi. J'ai été dire au revoir une dernière fois. C'était dur de partir de là-bas.........
Mais c'était pas fini, c'était Hallowwen chez Marinella. On était tous déguisé, ça c'est terrible. Il y a eu streap tease de GG. Toutes les musiques du week end. Le vélo qui fait pleurer, ça c'était magnifique aussi...Et puis une nuit dans des bras, t'as beau dire, c'est indescriptible.
La lune ne s'est toujours pas rétablie, j'espère qu'elle va bien. Mais si elle se repose beaucoup, elle ne sera que plus belle. Alors dors. ^^
Oh, un pantalon...
Merci à tous. Merci...

Dire qu'il y en a qui ont frolé son sol... Qui savent si elle est aussi belle de près que de loin.

"J'avais oublié à quel point les grilles de la prison étaient denses et sombres.
J'avais réussi à obtenir un petit sursis de deux jours avant de retourner purger ma peine, et j'en avais presque oublié la froideur de cet endroit.
J'étais rentré comme un robot, fatigué de ce sursis dont j'avais voulu profiter comme si c'était le dernier, et j'ai mis cinq minutes pour comprendre que c'était à moi que beuglait une sorte de rambo des temps modernes:
- Eh ! Ta capuche!!!!!!
Etant donné le fait qu'il pointait mes deux yeux avec ses deux fusils et que j'étais le seul à porter une capuche, j'ai du me résigner à découvrir mes oreilles sous ce froid d'octobre. Je l'ai regardé de travers. Je n'avais aucun souvenir d'un rambo dès l'entrée. 
Ne voulant pas rallonger ma peine, j'ai détourné les yeux et suis rentré dans le batiment.
Il y faisait un peu plus doux, malgré l'immensité des regards glacés des surveillants et du directeur de la prison. Ou c'était un grand jour, ou il y avait un gros problème, car le bout de son nez n'était pas souvent aperçu. J'esquissais alors un petit sourire car j'adorais la neige, et grâce à lui elle nous recouvrerait peut être.
Apparemment je n'étais pas le seul robot fatigué. Toutes les paupières, ensemble, devaient peser à peu près comme la lune.
Je vis alors le seul plaisir de ce lieux qui formait un cercle un peu plus loin.
Je fonçais dessus comme si c'était un donuts, et le mangeais à coup de bisous et de poignées de mains, de tapes et de calins.
Mes amis étaient magnifiques, et je remerciais la lune de me les prêter tous les jours.
La sonnerie retentit alors, me rappelant les travaux forcés, et me hâtant de leur dire au revoir.
Bonne chance... "

L'augmentation des inégalités

"Malgré la croissance économique mondiale, l'écart entre les riches et les pauvres s'est élargi à la fois entre les pays développés et les pays en développement, et dans les pays, en particulier en Amérique latine et en Afrique subsaharienne (PNUD, 2001). Les revenus par habitant n'ont que très peu augmenté dans la plupart des régions, à l'exeption de l'europe et de l'amérique du nord. Actuellement, 3.5 milliards d' habitants des pays à faible revenu se partagent moins de 20% du revenu mondial, tandis que le milliard d'habitants des pays développés s'en partage 60% (ONU, 2000). Le rapport entre le revenu dans les pays où habitent les 20% les plus riches de la population mondiale et celui des 20% des plus pauvress'est encore accru, passant de 30 à 1 en 1960 à 60 en 1990 et de 74 en 1997."

L'avenir de l'environnement mondial 3, PNUE (programme des Nations Unies pour l'environnement), De boeck, 2003

Elle avait beau pas avoir de nom, je suis persuadé qu'elle avait une âme. Elle doit se sentir bien seule la-haut. Si j'arrive à la récupérer promis je la baptise. Un beau nom. Qui à une âme aussi.
Si j'y arrive...

Sinon c'est 3000 km à vol d'oiseau. Environ 1 an méchant d'aladdin. Et aussi celui qui souris en entendant l'arabe de la bouche tah'moi. 25 ans hara mleh je crois. irrozz qu'on se demerde pour avoir de la musique. C'est important pour les souvenirs, vraiment. Indispensable même. On verra le soleil baîller. La mémoire comme la zone du grand mékong. La manivelle va devoir tourner. Un rêve de brisé suffit. C'est haut quand même. Tout en hauteur de sourires et d'espoir. De courage et de mémoire. La nappe s'étalera.
Layahrahounous...